Pascal Levy / Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Étudiant

Dans les studios de Clap m’en cinq

Elsa, Aurélien et Mickaël sont étudiants et passionnés de cinéma. De cette passion commune est né le podcast Clap m’en cinq sur leur sujet préféré : le septième art. Réalisateurs, acteurs ou encore monteurs sont conviés dans leurs émissions pour témoigner à l’occasion de la sortie de films qu’ils mettent en avant.

Des membres passionnés

L’équipe de Clap m’en cinq est composée de 10 membres, parmi eux : Elsa qui gère les contenus web, Aurélien scénariste et réalisateur et Mickaël en charge de la distribution.

Le projet a vu le jour alors qu’ils faisaient tous les trois partie de l’association ciné 7 de l’université de Paris. Dans ce cadre, il leur a été possible de demander des financements au FSDIE et d’obtenir du matériel pour réaliser ces émissions. Désormais étudiants à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, les membres de Clap m’en cinq bénéficient des précieux conseils de Cyril Barthet, cinéphile et enseignant à l’École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne.

“C’est quelques sacrifices, et il est parfois compliqué de lier le master, dans lequel nous avons pas mal de travail, à ce projet”, explique Mickaël. Pour parvenir à associer ce projet à leurs études, ils ont pu l’intégrer à leur programme de master. Pour cela, ils ont obtenu l’aide de leurs directeurs de master Nicolas Brigaud-Robert et Stéphane Goudet, et peuvent ainsi valider leur cours de projet entrepreneurial par le biais de Clap m’en cinq.

Perspectives d’évolution

Pour faire perdurer leur activité pendant le confinement, les membres de Clap m’en cinq ont pu enregistrer suffisamment d’émissions à diffuser sur leurs plateformes jusqu’à la mi-décembre. Toutefois, ils ont dû passer à deux émissions par semaine plutôt que trois habituellement. Afin de faire vivre le projet même en ces temps difficiles, Clap m’en cinq se développe sur les réseaux sociaux notamment en proposant de nouveaux concepts tel que Fight Club ou encore le blind test.

Clap m’en cinq prévoit d’évoluer dans un premier temps avec un studio mis à disposition par Sunday night production. Séduite par le projet, cette société de production a décidé d’accompagner Clap m’en cinq le en posant un regard professionnel sur leur travail, en leur donnant des conseils et en les aidant à revoir leur identité graphique. In fine, l’objectif des membres de Clap m’en cinq est de faire grandir leur projet et de pouvoir en vivre.

 

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