Carnet de voyage : fin de l’aventure à Séoul
Lisa est en troisième année de licence de science politique à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Pendant le second semestre, elle a choisi d’effectuer une mobilité à Séoul, en Corée du Sud. Études, voyages, découvertes… Elle raconte les derniers mois de sa mobilité dans une seconde chronique.
Lisa : En arrivant à Séoul, j’ai rapidement pu constater la richesse culturelle de ce pays, mais aussi les nombreuses différences avec notre culture. J’ai été très surprise par les règles sociales, comme patienter dans la file en attendant le métro ou le bus, la politesse et le respect très prononcés envers les ainés ou encore les règles d’hygiène dans l’espace public que tout le monde suit à la lettre. Le prix de la vie m’a agréablement surpris. La nourriture est très accessible et très bonne, notamment la street food. Les visites culturelles sont souvent gratuites ou peu chères comme les palais traditionnels, quelques euros seulement, permettant de se plonger dans la culture coréenne. Les transports sont très bien aménagés, ce qui est un point important.
Tout cela m’a permis de vraiment profiter et de voyager à travers le pays dans de nombreuses villes. J’ai pu découvrir différents paysages, passer de la ville à la montagne ou encore à la plage. Il y a toujours des choses à faire à Séoul, des monuments à visiter ou simplement des jolis cafés où se poser. Chaque quartier est différent et possède sa propre ambiance. Mon meilleur souvenir est lié aux jours passés avec ma famille venue me rendre visite, pouvoir leur faire découvrir ce pays que j’aime beaucoup, voyager aux quatre coins de la Corée du Sud et les voir aimer cette culture autant que moi.
Une expérience enrichissante
Cette mobilité m’a apporté ce que je recherchais en partant à l’autre bout du monde : autonomie, maturité, ouverture d’esprit, rencontres, découvertes culturelles et enrichissement personnel. J’ai aussi pu acquérir de nouvelles connaissances sur l’Asie de l’Est et plus particulièrement sur la Corée du Sud. J’aimerai désormais me spécialiser sur cette aire géographique pour la suite de mes études. J’ai également pu perfectionner mon anglais grâce aux cours dispensés entièrement dans cette langue et aux rencontres avec les étudiants internationaux pour qui la fac organise beaucoup d’évènements. Cette mobilité m’a apporté de la joie et du bonheur. J’en ressors grandie et j’ai déjà envie de repartir à la découverte d’un autre pays.
Après ma licence de science politique, je me dirige l’année prochaine vers un master en relations internationales et géopolitique pour devenir analyste en stratégie internationale. Je veux réaliser une expérience concrète, après trois ans de licence, pour développer un véritable savoir-faire, prendre part à des projets innovants et pouvoir par la suite exercer un métier qui me plaît et me correspond réellement.
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